dimanche 15 novembre 2015

Une étoile pour Frédérique-Anne




Ma fille Frédérique-Anne. si vivante, si belle

Quand les gens qui aiment ma fille viennent m'embrasser et me prendre dans leurs bras pour partager la douleur, je sens monter larmes et chagrin. Et moi, je me retiens car la douleur brusquement peut s'affoler et briser toutes mes résistances et alors, je coule dans une inconsolable peine.

Si je suis seule à la maison, une photo, un texto, un souvenir et soudain, la vague du chagrin déferle et me défait.

Si j'étais dans le désert, je pense que la simple vue d'un caillou tout à coup pourrait me parler d'elle.

Et si je regarde le ciel, il y a une étoile  particulièrement étincelante qui me regarde tout le temps, avec amour. Je la choisis pour me consoler.

Tu me manques mon coeur.... et là, maintenant, rien ne peut me consoler...

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