Bernard Émond, essayiste québécois, nous ramène à notre propre intelligence
Je lis Camarade, ferme ton poste de Bernard Émond
Je crois qu'en marchant on peut sauver le monde.
Quand on marche, il se passe deux choses: d'abord, le monde se met à exister, et on voit ce qu'on ne voyait pas. Ensuite, on fait prendre l'air à notre cerveau, et il arrive qu'on se mette à penser ce qu'on ne pensait pas avant. Chaque promenade est une création.
Quand on marche, il se passe deux choses: d'abord, le monde se met à exister, et on voit ce qu'on ne voyait pas. Ensuite, on fait prendre l'air à notre cerveau, et il arrive qu'on se mette à penser ce qu'on ne pensait pas avant. Chaque promenade est une création.
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