La douleur et le stress sont des avaleurs de système immunitaire. J'expérimente encore une fois combien c'est difficile d'être à la fois malade et seule.
Frédérique-Anne est dans mon coeur mais aussi l'ombre de la mort. Elle me recouvre parfois totalement, d'autres fois je suis cette ombre toute petite, terrée dans un coin de mon être. La présence de ma fille dans mon coeur côtoie la présence de la mort. Je suis de plus en plus consciente et mortelle. C'est bon ça, quand même!
Ce désoeuvrement grippal me fragilise terriblement.
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