dimanche 18 décembre 2016

Frédérique-Anne, tu existes tellement...



Ma fille

Chère Frédérique-Anne,
Je ne suis pas séparée de toi
Tu existes en filigrane sur la trame de mes heures, de mes jours
Je pense à toi tellement souvent
Parfois, je parle de toi
Parfois je te parle à toi
Parfois, je pleure
Parfois, je suis émue
Parfois, je souris
Parfois je ris
Parfois tu me manques
Parfois tu débordes de partout
Parfois, c'est comme si tu existais encore avec nous
Parfois, je ne sais que trop que je ne te reverrai plus jamais
Alors, je pose délicatement la main sur mon coeur
Tu es là!

Je suis cela.

1 commentaire:

Caroline Coulombe a dit…

C'est Gisèle ! Je t'embrasse...