Ma fille
Chère Frédérique-Anne,
Tu existes en filigrane sur la trame de mes heures, de mes jours
Je pense à toi tellement souvent
Parfois, je parle de toi
Parfois je te parle à toi
Parfois, je pleure
Parfois, je suis émue
Parfois, je souris
Parfois je ris
Parfois tu me manques
Parfois tu débordes de partout
Parfois, c'est comme si tu existais encore avec nous
Parfois, je ne sais que trop que je ne te reverrai plus jamais
Alors, je pose délicatement la main sur mon coeur
Tu es là!
Je suis cela.
1 commentaire:
C'est Gisèle ! Je t'embrasse...
Enregistrer un commentaire