Denise Thibault, ma soeur
J'ai vécu une décharge émotionnelle formidable en jouant aux quilles avec ma soeur Denise. Un fou rire. un plaisir à rire, un désir de rire jusqu'à la fin du monde... Il va sans dire que nous avions des lancers pourris, et des résultats tout aussi pourris ce qui alimentaient notre hilarité dare-dare.
Benoîte Groult écrit : "Le plus dur, ce n'est pas tellement d'être malheureux, c'est de se trouver privé de son minimum vital d'insouciance, de ce recours au rire ou, mieux encore, au fou rire salutaire qui fait sauter vos circuits et vous laisse pantelant, exhalant un de ces soupirs qui délivre des pires tensions."
Merci, ma soeur, pour ce temps délicieux à saveur d'enfance...
2 commentaires:
Y'a de quoi donner envie de tous avoir une soeur comme la tienne pour rigoler! Ou à tout le moins, d'essayer une partie de quilles avec une amie! On ne rit jamais assez souvent! Ça guérirait bien des p'tits bobos 8)
Merci VertGrenouille.Je te programme dans l'invisible un magistral fou-rire. Salut!
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