Long, très long trajet en autobus jusqu'à Hammamet.
Une salle immense pleine de gens. Une estrade pour les danseuses, le fahir, les équilibristes, le dompteur de serpent. Je me suis intéressée à ce dernier. C'était un homme âgé, maigre et un peu voûté et il ne quittait jamais son cobra des yeux. Moi, c'est lui que je ne quittais pas des yeux. Une capacité de concentration extraordinaire que ni la musique ni les personnes qui allaient et venaient autour de lui, ne parvenaient à entamer. Il était dans sa bulle!
Musique tunisienne, bon vin, bon couscous, une soirée non mémorable mais agréable.
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