mardi 13 novembre 2007

Les plantes ont une conscience...



































Cleve Backster a travaillé à la C.I.A. en tant qu'expert du polygraphe (détecteur de mensonge). En 1966, il découvre que les cellules vivantes, même végétales se révèlent sensibles aux émotions et intentions humaines. Il avait attaché avec des bracelets de caoutchouc, une paire d'électrodes aux extrémités d'une feuille de draceana. Il décida d'employer la vieille technique de la menace pour provoquer l'émotion. Il pensa à brûler la feuille avec une allumette. À cet instant même, il y eut une montée abrupte et prolongée de la plume enregistreuse. Backster n'avait même pas touché la plante ni sorti ses allumettes, il avait seulement pensé à brûler une feuille. Vouloir brûler une feuille à une plante sans en avoir vraiment l'intention est inutile, rien ne se passera. La plante capte l'intention réelle!
Il jeta alors quelques crevettes vivantes dans de l'eau bouillante. La plume du polygraphe fit un tel saut qu'elle déborda presque de la bande de papier enregistreuse. Grâce à un instrument encore plus élaboré, il découvrit que la réceptivité d'une unité de vie à une autre est universelle. Cela s'applique à toutes les cellules vivantes qu'elles que soit leur origine: fruits, légumes, moisissures, levures, sang, spermatozoïdes... Ces signaux ne sont pas limités par la distance. Ils peuvent parcourir des centaines de kilomètres: des caméras avec minuterie ont été placées à la fois sur le maître et sur son chien. À l'instant où le maître quitte son travail, même si ce n'est pas tous les jours à heure fixe, au domicile, le chien se dirige vers la porte. (expérience de R. Sheldrake)

La communauté scientifique occidentale était sous le choc: la plante n'ayant pas de cerveau ne pouvait pas avoir une conscience!!! La conception intellectuelle de la conscience, de la mémoire, de la communication était remise en question.

Tout cela s'accorde parfaitement bien avec la thèse ¨Gaïa¨, concept selon lequel la Terre serait un grand organisme vivant comportant ses propres correctifs. La Terre acceptera les violences que les humains lui infligent jusqu'à un certain point, après quoi elle poussera quelques borborygmes et grognements et une bonne partie de la population pourrait en payer le prix. 

Je la crois surtout capable de beaucoup d'autoguérison. C'est avec un grand élan d'amour que je dis Merci à la Terre, notre Mère, pour toutes les beautés, la prodigalité et les richesses qu'elle nous offre... encore...! Merci!

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