lundi 7 avril 2014

Comment sauver le frêne menacé par l'agrile...




 Le frêne


L'agrile du frêne fait son entrée au Québec. 20% des arbres de la ville de Montréal sont des frênes. Son arrivée est préoccupante.


Fruits du frêne


Comment sauver le frêne menacé par l'agrile?

En premier lieu, que faire? Procurez-vous le remède homéopathique Camphora en tube de granules en 6ch, 7ch ou 9ch. Mettez un granule dans un petit bocal rempli d'eau, fermez-le et tapez une cinquantaine de fois le pot dans le creux de votre paume. Videz le contenu  dans un gallon d'eau. Au printemps, quand l'agrile (coléoptère), ennemie du frêne, apparaîtra, arrosez le tronc et vaporisez les fissures car en mai, les coléoptères  pondront leurs oeufs sur la peau de l'arbre, la perceront, pour s'engouffrer dans les veines du frêne et le temps de vie de l'arbre sera désormais compté.

Nous avons besoin de nos frênes et eux ont besoin de nous. Soyons créatifs, vaporisons le bas des arbres, de même que les trous déjà forés des années précédentes avec Camphora ou mettons du camphre sur des papiers mouchoirs que nous enfouirons au pied de l'arbre, diluons de l'eau camphrée dans des gallons et arrosons l'arbre au printemps quand l'arbre aura soif et avant l'éclosion des coléoptères.

Mais plus que tout, rendons hommage aux frênes tombés pour nous ou qui vont mourir ce printemps.

Extrait d'un texte de Martine Jourde, "grande" homéopathe québécoise.

Merci chère Martine, affections! Gisèle. 

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