Henry de Monfreid 1879-1974
Il raconte:
Nous faisions de l'alccol et en faisions le commerce. Faire des alcools alors que les musulmans ne prennent pas d'alcool - !!! Le prophète a défendu une goutte d'alcool, alors il leur suffit de tremper un doigt dans un verre que l'on veut boire et de faire tomber une goutte pour que ce soit celle-là précisément qui est défendue, et le reste peut se boire en toute bonne conscience!!!
Ah! bon! Ça sent l'hypocrisie !
Les femmes Harari ont une particularité. D'abord, elles sont très belles. La robe harari est très belle, très ample, très colorée. Et la loi leur reconnaît une particularité, un avantage. Un mari n'a pas le droit de battre une femme lorsqu'elle est une Harari. Il y a beaucoup de femmes harari qui ne sont pas mariés parce que les Arabes estiment que leur premier droit, si ce n'est leur devoir, c'est de battre leur femme quand elle le mérite, même quand elle ne le mérite pas.
Ah! bon! Ça sent la cruauté!
J'ai le coeur serré en pensant que toute cette vie patriarcale conservée derrière ces vieux murs allait disparaître, tuée par notre civilisation.
Moi, je n'ai pas le coeur serré. La désastreuse vie des femmes en Afrique n'a pas changé d'un iota. La différence c'est que maintenant de plus en plus de femmes se lèvent et dénoncent les cruautés qui leur sont faites, au risque d'en mourir. Et beaucoup en meurent... Elles vaincront!
Jai lu Henry de Monfreid, entretiens radiophoniques réalisés par paul Guimard
Ah! bon! Ça sent l'hypocrisie !
Les femmes Harari ont une particularité. D'abord, elles sont très belles. La robe harari est très belle, très ample, très colorée. Et la loi leur reconnaît une particularité, un avantage. Un mari n'a pas le droit de battre une femme lorsqu'elle est une Harari. Il y a beaucoup de femmes harari qui ne sont pas mariés parce que les Arabes estiment que leur premier droit, si ce n'est leur devoir, c'est de battre leur femme quand elle le mérite, même quand elle ne le mérite pas.
Ah! bon! Ça sent la cruauté!
J'ai le coeur serré en pensant que toute cette vie patriarcale conservée derrière ces vieux murs allait disparaître, tuée par notre civilisation.
Moi, je n'ai pas le coeur serré. La désastreuse vie des femmes en Afrique n'a pas changé d'un iota. La différence c'est que maintenant de plus en plus de femmes se lèvent et dénoncent les cruautés qui leur sont faites, au risque d'en mourir. Et beaucoup en meurent... Elles vaincront!
Jai lu Henry de Monfreid, entretiens radiophoniques réalisés par paul Guimard
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