Cette année, on parle beaucoup de Boris Vian, on se remémore les événements de sa vie, ça fait 50 ans qu'il est décédé. On veut se souvenir... lui rendre hommage.
J'ai décidé de relire "L'écume des jours". À l'époque, c'était un roman nouveau-genre, d'avant-garde, maintenant il au dixième rang des 100 plus beaux livres du xxe siècle. Quand même, ça me surprend un peu!... Je me souviens bien de la poignante histoire d'amour entre Colin et Chloé, de la mort de Chloé, du côté délicieusement étrange et surréaliste de sa poésie et aussi de moi qui pleurait comme une Madeleine à la fin du livre.
Cette fois-ci, je suis plus sensible à la sensualité de sa poésie:
- La porte claqua derrière lui avec le bruit d'une main nue sur une fesse nue...
- La porte extérieure se referma sur lui avec un bruit de baiser sur une épaule nue...
Et tout ça sur des airs de jazz...et je ne fais que commencer!
1 commentaire:
Ah! Chloé meurt dans l'histoire...
Bon ben je vais me trouver un autre livre, je connais déjà le "punch" de celui-là!!
;>)
- Pierre
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