La violence et la guerre prennent racines chez nos ancêtres lointains, les singes. La présence de femmes dans les cercles où se prennent les décisions a-t-elle pour impact de restreindre notre propension à la violence? La thèse qui n'est pas nouvelle est remise à l'honneur dans le livre Sex and War, où le biologiste Malcom Potts et le rédacteur scientifique Thomas Hayden relient cette "propension à la violence" aux mâles, à leur volonté de s'imposer comme mâle dominant et à cette propension biologique de "produire" le maximum de descendants.
D'où l'importance que ces auteurs attachent au rôle social croissant chez les femmes au cours des deux derniers siècles, rôle qui aura prédisent-ils, un impact à long terme sur la réduction de la violence. Si ces auteurs ont raison, la femme serait ce qui un jour, distinguera finalement l'humain du Chimpanzé.
Agence Science-Presse, 2014
Le plus de descendants possible... mais pourquoi cette obstination de coqs de basse-cour alors que la Terre craque déjà sous une population grandissante sans parler de ses détritus?
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